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édition des grandes vacances

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Nique bien tes morts

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PARIGOTS TETES DE VEAUX

Fil légitime chronologiquement, bien joué.

Je peux rangeban les posts aussi si tu veux.

PARISIENS TÊTES DE CHIENS

Je sens une certaine fragilité psychologique chez les différents spammeurs, pas vraiment des gars solides pêh

De quoi tu parles pédé?

>la chancla

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>Enjoys listening to music and sharing it with his best friend
Blague sur toi je n'ai même pas d'amis.

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Déformer la réalité pour s'imaginer être une nuisance/tenir tête seul à un groupe, c'est un peu comme les clodos qui parlent tout seuls.

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>"Allez user, ca fait 2 mois que la boite te paye à rien foutre chez toi, tu vas faire une mission pour une fois"
>Ah bah enfin bordel ca devenait gênant
>Chope le courrier en rentrant, tombe sur une vieille lettres d'il y a un mois
>"Bla bla, cher employé, après analyse des calendriers de nos équipes vos congés obligatoires fixés par la boite sont fixés à la période entre Lundi et dans 2 semaines"

A ce niveau la c'est l'oeuvre d'un Stand ennemi, d'ici quelques jours j'ai Usul qui vient faire des poses homoérotiques à ma fenêtre en disant "kekekeke, grace à 「Money for Nothing」 , Je vais ruiner le patronat et détruire le capitalisme, Jojanon"

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Ces chiffres

On ne connaît pas de blagues régionales comme ça, à Paris. On ne doit pas avoir grand chose à prouver

belle analogie, et vérifiés

>anime

Tu veut qu'on parle de toi, crasseux de NEET de merde?

Ce soir je rangeban les free posteurs.

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jvcrouille ? plutôt comme jvclochard pêh !

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C'est du tertiaire ?

J'ai du mal à dormir en maison. Il y a trop de points d'entrée possible, un mec pourait ouvrir n'importe quel fenêtre, ou le garage.

Lucifer son of the mourning, I'm gonna chase you out of earth! I'm gonna put on a iron shirt, and chase Satan out of earth I'm gonna put on a iron shirt, and chase the devil out of earth I'm gonna send him to outa space, to find another race I'm gonna send him to outa space, to find another race Satan is an evilous man, But him can't chocks it on I man

So when I check him my lassing hand And if him slip, I gaan with him hand I'm gonna put on a iron shirt, and chase Satan out of earth I'm gonna put on a iron shirt, and chase the devil out of earth I'm gonna send him to outa space, to find another race I'm gonna send him to outa space, to find another race Him haffi drop him fork and run Him can't stand up to Jah Jah son Him haffi lef' ya with him gun

Dig off with him bomb I'm gonna put on a iron shirt, and chase Satan out of earth I'm gonna put on a iron shirt, and chase the devil out of earth I'm gonna send him to outa space, to find another race I'm gonna send him to outa space, to find another race Satan is a evilous man,

But him can't chocks it on I-man So when I check him my lassing hand And if him slip, I gaan with him hand I'm gonna put on a iron shirt, and chase Satan out of earth I'm gonna put on a iron shirt, and chase the devil out of earth I'm gonna send him to outa space, to find another race I'm gonna send him to outa space, to find another race Move ya with your gun Mi sey fe lef' ya with your bomb

>t. Bouygues-Télécom

profite bien de ta box hors de prix

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>les clodos qui parlent tout seuls.
hé ho ! Je parle tout seul moi aussi. Et je suis pas un clodo, juste tout seul depuis trop longtemps.

Pierpoljak
Qu'est-ce que tu fait là à traîner
On t'attend
L'avion va bientôt décoller

Non, allez-y, moi je reste ici

[Refrain]
Je veux quitter le monde des fous pour de bon
Je veux vivre dans la nature
Loin de la pollution
Je veux quitter le monde des fous pour de bon
Je veux vivre dans la nature
Loin de la pollution

Pierpoljak
Qu'est-ce que tu fait là à traîner
Tes bagages ont été enregistrés

Pierpoljak
Seul ici tu vas galérer
Tu n'as pas de fric
Dis moi comme tu espères t'en sortir

Moi je préfère m'embarquer
Sur le vol pour Zion
Moi je préfère m'envoler
Pour Zion

[Refrain]

Pierpoljak
Qu'est-ce que tu fait là à glander
Pierpoljak
Encore toi ici à traîner

Moi je préfère m'embarquer
Sur le vol pour Zion
Moi je préfère m'envoler
Pour Zion

[Refrain]

Les passagers du vol pour Zion
Sont priés de s'embarquer
Sur la passerelle L

Pierpoljak
Qu'est-ce que tu fais là?

Etrange quand tu n'aimes pas le système...

Bah non, faut des volets solides.
Ah c'est sûr que les trucs de pédé en PVC...

J'sais pas jouer
Aut'chose que du reggae
J'sais pas danser
J'remue que sur le reggae
J'sais pas chanter
Aut'chose que du reggae
J'sais pas danser
J'remue que sur le reggae

Les directeurs artistiques
Oh ont la science en musique
Ils savent ce qui est bon ou pas

Oh Ils disent monsieur Pekah
Tu as une jolie voix
Mais pourquoi t'entêter comme ça
Prends plutôt une gratte sèche
Laisse toi pousser la mèche
Et ta côte va monter en flèche
Oh oh oh Blah blah blah
Ils disent des ouais ouais ouais ouais Blah Blah

Je les laisse parler (parler) et perdre leur temps
Ils parlent tout le temps
Je les laisse parler (je les laisse parler) et user leur salive
Ils parlent tout le temps

Moi j'sais pas jouer
Aut'chose que du reggae
J'sais pas danser
J'remue que sur du reggae
J'sais pas jouer
Aut'chose que du reggae
J'sais pas danser
J'remue que sur du reggae

En politique c'est facile
Oh il suffit d'être habile
Pour emmener brouter les boeufs
Mais j'suis pas le genre de bison
Qui aime les bâtons
Les barbelés pour horizon

Moi j'sais pas jouer
Aut'chose que du reggae
J'sais pas chanter
J'remue que sur le reggae
J'sais pas jouer
Aut'chose que du reggae
J'sais pas danser
J'remue que sur le reggae

J'ai même essayé les affaires
J'suis pas bon en gangster
J'm'fais avoir à tous les coups
A l'usine et au chantier
C'est pas qu'je sois mauvais
Mais je casse tout ce que je touche

J'sais pas jouer
Aut'chose que du reggae
J'sais pas danser
J'remue que sur le reggae
J'sais pas jouer
Aut'chose que du reggae
J'sais pas danser
J'remue que sur du reggae

prends un clebs

On est plein a vouloir bronzer sous le soleil torse nue
Mais frère l'expression vide devant un plan en or se rue
J' te cause de trucs que la minorité de chez nous comprennent
Pendant que j'essaye d'avancer, dans ce pays les moutons traînent
La coupe est pleine
Et l'unité ne se porte pas mieux
J'attends toujours des mains en l'air depuis que la vie est morte à deux
Sur une balade, j' t'emmène visiter les bords de seine
L'agglomération de Corbeil
Où y' a beaucoup de Cyborgs 17

Ça vient de loin...

Les cris couverts par les transports
Les piétons, la pollution, nous on reviendra armés en force
On est plein comme c' que j'ai dans le crâne
J' te jure ça m'affecte, ça pue la cafet'
Et des odeurs qui remontent jusqu'à ma fenêtre
Dis au blédards du PMU que mon Cheval de Troie s'élance
Et que tu peux toujours attendre avant que je nargue le roi des ventes
Mais c'est ici qu' j' ai mes repères
Même si le malheur nous désunis
J' me sentais alaise sur une île
Jusqu'à c' qu' on m’aie poussé du lit

[Refrain: Wabitem]
Mec je passe mon temps a faire les 100 pas
Et tu sais même pas comme j'use mes sandales
A croiser les regards on ira nulle part
A quoi bon tout le temps pousser au scandale

Mec je passe mon temps a faire les 100 pas
Et tu sais même pas comme j'use mes sandales
Entrer dans la compétitions ça sert à quoi
Alors qu'a plusieurs la frappe est royale

Les neets sont de la race des seigneurs, des être supérieurs qui regardent d'en haut les macaques de jvc se balancer de la merde entre eux. Il y a une certaine noblesse qui échappera toujours à cette meute de bots en manque d'affection.

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>Mais ça les vaut largement

Non.

Le prix de l'immo est élevé car les taux d'empruns sont bas, il est donc possible pour tous les acheteurs d'emprunter sur 40 ans donc les prix sont élevés. En plus, avec l'inflation basse qui va avec, les gens planquent leur pognon dans de la pierre, principalement en centre ville vu que c'est ce qui se loue de mieux. Quand les taux baisserons, ton appart vaudra 500k. Le reste, tu l'as déjà perdu.

Conseil: trouve un cave à qui refiler la patate chaude.

>mvq Priscilla posteur est une petite pute qui veut pas donner ses infos

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[Couplet 2: Tragik]
J' tourne en ronds comme la chansonnette
Ou un manège géant
Si mon cul agresse les bancs
C'est qu' j' suis dans un cas échéant
Un quart de siècle d'années vexantes
J' me contient malgré les gens
Leur regards paraissent méfiants
Et j' trouve leurs manières étranges
On fait que fumer dans un hublot
Ou remplir vos tribunaux
Si tu te contentes que de nos gueules
On risque pas de sortir du lot
Et on s'étonne que les plus jeunes font qu' crier « nique la police »
Quand le discernement s'incruste dans leurs disque amovibles
J'ai essayer d' m' adapter, sans frapper des punching-balls
Car l'exercice de mes fonctions
S' résument à des coups de Zippo
Pour les p' tits frères et p' tites sœurs qui n'auront pas le destin d'Alizée
Qui se font bercer par leur mères, et pas les dessins animés
J'évacue ma dérision, à quelques mètres d'un ingé son
Vas-y allume toi une garo, ou évite cette injection
J' suis adorable, mais le diable me fait du pieds
Devant la beauté de ce monde
Ou une femme je saigne du nez

...

Tu t'amuses?

ingégé intérimaire dans un domaine tellement osef que t'as une offre qui correspond tous les 2 mois.
Et encore je suis rarement pris, la je vais aller pisser du code ou faire le boulot des stagiaires à leur place histoire de justifier mon existence.
Sérieux j'ai un peu envie de me casser mais ils payent pas mal et les clients sont quand même des boites classes.

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...

Faut le report, ça le fait tellement rager il se rend pas compte qu'il se trolle tout seul

Là-bas il fait chaud on boit l'eau du coco
Sous les cocotiers les filles sont dorées
Les maillots mouillés et les bondas bombés
Ça sent le Colombo, les plats épicés
Y a du zouk à fond, des fruits de la passion
Francky Vincent est le saint patron
On coupe la canne pour en prendre le sucre
Mélanger citron vert et rhum Trois Rivières
Bologne ou La Mauny et oui c'est clair
Clair comme l'eau comme l'eau de la mer
J'y vais quand c'est gratuit, congés bonifiés
Dis-moi Timal, est-ce que tu connais ?
Suis-moi dans les hauteurs de la Soufrière
Je suis le guide touristique qui t’emmène en Basse Terre
On tape une pointe pour aller à la pointe
Fais du frotter-frotter et des gens qui s'éreintent

[Refrain]
Ma mère est née là-bas
Mon père est né là-bas
Moi je suis né ici
Dans la misère et les cris
(bis)

[Couplet 2]
C'est le deuxième couplet j'espère qu'on va clipper
Tu pourras voir la tristesse de mon quartier
Ici tout est gris, ça s'appelle Paris
Les rues sont mortes, les filles décolorées
Pour rester bronzées, elles brûlent sous UV
Toujours fâchée, la fille de la ville
Est agressive comme un flic en civil
Il y a comme une odeur de gaz sur les Champs-Élysées
Et les bombes pètent dans le RER B
Ma mère est fatiguée, je la laisse respirer
Je vis de mon côté et tente de subsister
"Arrête de rapper" me crie-t-elle toute la journée
"Ce n'est pas sérieux trouve un métier"
Fumer ça donne faim je suis Arsène Lupin
Je tape à E.D même sans les mains
Sur mon canapé on est moins serrés
C'est sûr certains se sont fait soulever
Je pense aux novices et n'oublie pas mes complices

C'est un pistolet par imprimante 3D ?

Les volets s'ouvent facilement de l’extérieur, comme toutes les fenetres bon marché et presques toutes les fenetres de toit.

Source: un collègue qui a fait de la prison.

Un boitier à ultrason et coucouche panier.

[Refrain]
Ma mère est née là-bas
Mon père est né là-bas
Moi je suis né ici
Dans la misère et les cris

[Couplet 3]
J'veux porter des shorts de toute ma vie
Avec mon escorte, quitter Paris
Manger du poisson grillé sur la plage du Gosier
Prendre des bains de mer avec le ministère
Mais je me suis noyé, je ne sais pas nager
Les rues sont profondes et mènent toutes au boulevard Ney
Comment s'en sortir pour la fille du quartier
Elle croit que pour percer, il faut se faire trouer
Certains jouent au foot et veulent devenir pros
D'autres dealent et rêvent de kilos
Les seringues mortes se ramassent à la pelle
Sur les trottoirs de la rue La Chapelle
On protège nos fils de tout ce vice
Dans les cours d'école on ne sniffe plus de colle
Drogue et alcool ont pris le monopole
Ma vie n'est pas simple elle n'est pas funky
Moi je suis né ici et mon enfant aussi

[Refrain]
Ma mère est née là-bas
Mon père est né là-bas
Moi je suis né ici
Dans la misère et les cris

Je sors de chez moi, salut mon gars
Tu sors de prison, dis moi comment ça va ?
Tu veux que je t'enregistre les nouveaux sons
Le dernier Ministère et la première consultation
Tu veux être à la page avant de rejoindre l'entourage
De ceux qui boivent du douze ans d'âge
Prisonnier du quartier, pris dans la fonce-dé
Plus rien ne m'étonne, plus rien ne me fait bander
Depuis que j'ai la tête collée sur une pochette
Certaines font semblant de ne pas me reconnaître
D'autre me guettent, s'entêtent, m'embêtent
Alors je les baise... (ah ouais)
Et tout est si facile quand on marche dans sa ville
Même les bleus pour moi sont en civil
Je veux changer d'air, changer d'atmosphère
Je vais me foutre en l'air comme Patrick Dewaere
Me droguer aux aspirines, façon Marilyn
Oooh..... faut que je me supprime

[Refrain]
Comme Beregovoy, aussi vite que Senna
Je veux atteindre le nirvana
Comme Beregovoy, clic clic boum !
Aussi vite que Senna
Je veux atteindre le nirvana

[Couplet 2]
C'est donc ça la vie, c'est pour ça qu'on bosse
Voir son gosse traîner dans le quartier
Dans une poche les feuilles OCB
Dans une chaussette la boulette à effriter
Une cage d'escalier et le tout est roulé
Mais stone, le monde est stone
Y'a plus de couche d'ozone
Et les seins des meufs sont en silicone
Tu rêves de pez, fini le guez
1 2 3 tu m'emmènes avec toi
4 5 6 cueillir du vice
7 8 9 dans ton cabriolet neuf
J'ai connu les bandes, les gangs
Les meufs de gang bang, et les gros bang
Bang bang dans la tête de mes amis
N'y pense même pas si tu tiens à ta vie
J'ai troqué ma famille, contre ces amis
Et je me moque de ton avis
Je veux me doper à la Maradona
Car je suis triste comme le clown Zavatta


Je veux atteindre le nirvana

>Les volets s'ouvent facilement de l’extérieur
Ah non.
Le système de verrouillage est fait pour que justement ce ne soit pas le cas.
Après ce que j'ai c'est pas bon marché. C'est extrêmement solide.

pas lui, mais ça ressemble effectivement au liberator

La demande ne cesse d'augmenter avec les millionaires étrangers, de plus en plus nombreux.
Je crois que notre Qatari de l'immeuble (rarement présent) est littéralement un roi du pétrole.
Le Russe change de Ferrari (ou équivalent) plusieurs fois par an. Etc...

>Conseil: trouve un cave à qui refiler la patate chaude.
Moui, je pourrais empocher ma plus-value de plus d'un million, mais en fait je suis plus vraiment à ça près, et mes chats détesteraient déménager. Donc je vais rester. Mais c'est sans doute un bon conseil, oui. Merci.

[Refrain]
Comme Beregovoy, aussi vite que Senna
Je veux atteindre le nirvana
Comme Beregovoy, clic clic boum !
Aussi vite que Senna
Je veux atteindre le nirvana

[Couplet 3]
Le docteur ne joue plus au fraudeur
J'achète des tickets par simple peur
D'avoir à buter un contrôleur
Je flirte avec le meurtre, je flirte avec mon suicide
Vive le volontaire homicide
Je ne crois plus en Dieu et deviens nerveux
Allah, Krishna, Bouddha ou Jéhovah
Moi j'opte pour ma paire de Puma
Elle guide mes pas à pas
J'ai fait le bon choix, et j'y crois
Je n'ai pas touché, mais caressé tous mes rêves
Je demande une trêve, le Doc est en grève
Plus rien ne me fait kiffer
Plus rien ne me fait marrer
De la fille du voisin, je suis passé
À de jolies mannequins très convoités
Ma petite amie, elle est belle, elle est bonne
Elle s'appelle Brandi Quinones, si tu veux je te la donne
Car plus rien ne m'étonne
J'en ai marre des meufs
J'en ai marre des keufs
C'est toujours la même mouille
Toujours les mêmes fouilles

[Refrain]
Comme Beregovoy, aussi vite que Senna
Je veux atteindre le nirvana
Comme Beregovoy, clic clic boum !
Aussi vite que Senna

j'ai l'impression de disparaître en tant qu'individu

Bizarre que ta boîte ne te vire pas, ils peuvent facturer tes missions à un prix indécent peut-être ?
Tu peux pas devenir indépendant ?

Tu es là ce soir avec nous.

Basé et ethéré-pilulé

Ben non, vous êtes trop occupés à taffer pour payer vos minuscules "appartements" de merde hord de prix.

Comme tout le monde ici, à part ceux qui ont déjà disparu.

Peut être.

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[Intro]
- Oh qu'est-ce t'as à me regarder ?
- ... Qui, moi ?

[Couplet 1]
Toujours vif, comme au premier jour de cours
Ou tour à tour les mecs te matent
Claques pas des genoux ou t'es viré de la cour
Tenir le coup, regard froid, fais pas le tocard
L’œil au beurre noir, vaut mieux le faire que l'avoir
Dès le plus jeune âge, engrainé à évoluer
Dans une meute où l'ego se fait les dents sur les colliers d'à-côté
Où les réputations se font et se défont
Où les moins costauds enjambent les ponts
Se défoncent sans modération
En guerre permanente avec les autres, les bandes se forment
On comprend vite qu'on est plus fort avec ses potes
En somme, voici venir l'âge béni
Où tu te crois homme mais t'es qu'un con et y'a qu'à toi qu'on l'a pas dit
Les autres jouent les caïds pour une bille, puis une fille
Les poils s'hérissent, les dents grincent, on tape pour des peccadilles
Évite les yeux, on doit pas voir quand ça va mal
La moindre faille physique ou mentale, l'issue peut être fatale
On grandit au milieu des rônins
Chacun sa barque pourrie sur sa mer de merde
Chacun sa voie, sa vie
Devant l'adversité, les coudes se soudent
On pousse un kiaï, le doute se taille
Prêt à mourir comme un samouraï

[Refrain]
On joue dans un chambara
La fierté, la loi tuent
Comme un bon vieux Kurosawa
La main sur le katana
Même si la peur m'assaille
Je partirai comme un samouraï
On joue dans un chambara
La fierté, la loi tuent
Comme un bon vieux Kurosawa
La main sur le katana
Même si la peur m'assaille
Je partirai comme un samouraï

[Couplet 2]
Le temps passe, Baby Cart grandit entre le fer et la soie
La soie, c'est avec le fer qu'il l'a acquise
Aux prises avec la pression
La presse relate ses actions
La prison souvent remplace le pacson
Le pompon s'agite au-dessus de nos têtes
Chacun le veut pour lui, un billet pour le manège
Gratuit, verrouillé, la nuit les lampadaires se morphent en mecs
Une seule quête, les pépètes
Quand t'as les sous, tu drives une 7-20
Et tu touches des seins, on lutte
Souvent on bute sur le pied du voisin, espace restreint
On gueule souvent, on en vient aux mains pour tout et rien
Ça finit devant témoins
Et va savoir combien de temps on peut rester sans voir les siens
Comprends bien : c'est une réalité, pas une BD
Les sens toujours éveillés
Evite les embûches, les femmes risquées
Les boîtes piégées, les gens ont changé
La rue est mal fréquenté
Surtout sors pas sans tes papiers, ça peut gâcher la soirée
J'ai combattu, j'ai eu mon heure, mon jour
Je verse un verset pour ceux qui attendent leur tour
Et ceux qui ne rigoleront plus
On baissera pas les bras, on n'est pas né pour ça
Mêmes vaincus, on se jettera dans la bataille
Pour l'honneur, comme un samouraï

[Refrain]
On joue dans un chambara
La fierté, la loi tuent
Comme un bon vieux Kurosawa
La main sur le katana
Même si la peur m'assaille
Je partirai comme un samouraï

Rip

Voici un (Toi) alors, adopte un chat.
Je me demande ce que le créateur est devenu
en.wikipedia.org/wiki/Cody_Wilson#Hatreon
>charge pour viol
comme de par hasard...

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[Intro]
"Le rêve qu'on y a enfermé peut durer jusqu’à la fin du monde"

[Couplet 1 - Shurik'n]
Pas trimer comme un connard
Rentrer tard le soir
Les mains noires de cambouis
M’empêchent de dire bonsoir à ma famille
Ne pas faire la queue au PMU
Le ticket à la main, avoir perdu
Rester la langue pendue
Mais pas s’avouer vaincu
Ne pas en chier pour rentrer en boîte
Marcher sans qu'les flics m’emboîtent
Le pas dès que je sors, sortir ma carte
Ça rend les mains moites
De boîte de conserve en boîte de conserve
Ne pas avoir le goût du fer
Quand ma vie et l’enfer s’envoient en l’air
Ne pas regarder les infos, content
En me disant : "y’a pire que moi"
Moi, j’ai toujours une chance au Loto
J’aimerais avoir une vie normale, banale
Parsemée d'marmaille
Sortir mon chien, boire mon café
Lire mon journal les pieds sur terre
Parmi les clebs

Vous vous êtes politisé vers quel âge ? Et quand avez-vous adopté votre position actuelle ?

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>Va perdre 2,5 millions pour ses chats
J'ai jamais vu autant d'amour chez un mec qui n'a pas de gamins.

Les russes, c'est vrais qu'ils vont rester. Paris est un coin sur pour ceux qui prennent leur retraite. Les saoudis, quataris et autre, par contre, dans les prochaines décennies ils n'auront plus de gaz ou de pétrole, et à ce moment là, les US ne seront plu leurs allié.
Tout leur pognon va partir dans une guerre à la con.
Faut pas t'inqueter, les chinois vont venir prendre leur place.

Non, le vrais problème, c'est que quand les taux remonterons, ils voundrons placer leur pognon ailleurs et avec des durées d’emprunt courtes, ils ne voudront plus acheter ton appart un seul million.

>adopte un chat
J'aime pas les greffiers et je suis trop immature pour avoir un animal.
Je suis pas souvent à la maison en plus, la pauvre bête serait seule souvent.
J'aimerai vraiment avoir un chien quand même...

Y’a que d'la pression
Les gosses croquent la mort à pleines dents
Comme dans une barre de Lion
Les caries c’est rien, on s’en remet
Et puis un jour, tu mords trop fort
Et là tu perds ton dentier sur ton pallier
Me pince pas, j'veux pas m’éveiller
Laisse-moi dormir chez moi
La réalité nous fait subir le pire
Ceux qui désirent saisir le rêve
En rêveront toujours, sauf dans les thrillers
Où je cherche mon tour
Les marchands d'sable passent pas ici
Le grillage fait ta nuit
Tant pis, on dormira
Quand on aura suffisamment roulé, fuit
Ce truc bizarre entre sommeil et vie
Beaucoup restent sur le parvis
Tentent le diable, font tapis pour le profit
Et la roue tourne, pas pour la fortune
Sur le bitume, y pousse pas d'thunes
Que d'la poisse et de l’infortune
Et tue l’habitude rue l’insolente
Collante, me fait penser qu’à ma pensée
Y’a qu’un pansement de billets
Pour colmater les plaies, pigé ?
La cécité est une nécessité
Pour insister, avancer
Ici, y’a pas de Moïse, la merde va pas s’écarter
C’est comme ça qu'ça marche
J’enlève la bâche, un flash de vrai cash
Auprès desquels nos rêves font tâche
C’est pour ça qu’on les cache, bébé

il me semble qu'on lu reproche d'avoir baisé une fille de 17ans qui a menti sur son age
ce qui est presque aussi grave que de ne pas supporter à 100% Israel aux USA

[Refrain x2]
"Mes rêves ? Quels rêves ?"
Même nos rêves c’est des cauchemars
À chaque mauvais coup qui frappe mon destin s’égare
C’est pas le pays des merveilles
Pas de trêves pour les rêves
Reste en mode veille, sinon crève
L’histoire s’achève avant d’avoir commencé
Pour en éviter d’en arriver là
Vaut mieux pas rêver, rester réveiller !

[Couplet 2 - Freeman]
Mes rêves, mes rêves à moi
Rester sur terre, solitaire
Avec ma musique seulement
Ne pas penser à l’argent
Ne plus penser aux bas fonds, à ma vie
À ce genre de trucs
Quand on a pas un rond, rester relax
Pas évident, frérot
Résister tous les jours à cause du mauvais parcours
Que j’ai choisi dix ans avant
Nous rapporter responsabilités engagées
Il faut se débrouiller, que faire ?
Faire semblant de m’amuser ?
Frappé par la foudre du mal qui m’entoure de ses éclairs
Je rêve de beau temps
Mais le paradis n’est pas sur terre
Le Cerbère veille sur Marseille, la porte de l’enfer
Pour la plupart de mes frères
Servir le mal est devenu une bonne affaire, un cauchemar
Mon répertoire de textes aigris
À cause de ma putain de vie j’écris
Mes rêves, mes rêves, mes rêves
Pour l’instant me fuient
Comme une proie devant un prédateur
L’orateur chasse le savoir qui vient du cœur
Pour mon ami flambeur
Je te souhaite que du bonheur
Mais tu le sais, nul ne sait de quoi sera fait demain
Demain c’est loin

L'oncle Paul a fait mon éducation politique.

Vers 25-27 ans je dirai.
Et j'ai pas bougé depuis.

Je me fais tellement chier ces derniers temps que j'ai envie d'aller gare du Nord juste pour essayer le crack

Je fais avec en tirant sur mes joints du matin au soir
Dans mes rêves y’a pas de miroir
La double personnalité reste dans un tiroir
Seule la compassion existe, pour t’émouvoir
Un rêve dans un rêve
La trêve que mes amis jamais ne crèvent
Lucifer me maudit à chaque fois que ma voix s’élève
Élevé à Alger
Dans les bains de sang on s’est retrouvés
L’amour renaît
Que mon vœu soit exaucé
Je crois qu'c’est mon seul vrai souhait
Les rêves sont difficiles à cerner
Je laisse faire celui qui sait
C’est la nuit qu'tout recommence
Quand le soleil se couche
Je n’arrive plus à faire la différence
Entre rêve et réalité
Quel sens ? Même si personne ne croit en c'que j'fais
J'le fais

[Refrain x3]
"Mes rêves ? Quels rêves ?"
Même nos rêves c’est des cauchemars
À chaque mauvais coup qui frappe mon destin s’égare
C’est pas le pays des merveilles
Pas de trêves pour les rêves
Reste en mode veille, sinon crève
L’histoire s’achève avant d’avoir commencé
Pour en éviter d’en arriver là
Vaut mieux pas rêver, rester réveiller !

"Un rêve ? Ceci n'est pas un rêve. Peut-être que moi je rêve"

Fil de cons

>Vous vous êtes politisé vers quel âge ?
Jamais
Quand la droite passe, elle me fait des cadeaux du genre bouclier fiscal, crédit d'impôts si on détient des actions françaises...
Quand la gauche passe, elle me fait des cadeaux du genre sécu gratuite, payer la moitié des rénovations de mes biens immobiliers...

Donc en gros, je vois pas la différence. Tant qu'un parti "extrême" n'arrive pas au pouvoir (ce qui paraît risqué), ça me va.

Sale parisien de merde.

Ma rue est bourrée de vice
À chacun ses délices, à chacun sa 8.6
Dans ma rue, les lascars se serrent la main
Ce n'est pas comme dans le show-biz où les mecs se font la bise
Dans ma rue, les Chinois s'entraident et se tiennent par la main
Les Youpins s'éclatent et font des magasins
Et tous les lascars fument sur les mêmes joints
Dans ma rue, c'est une pub pour Benetton
Et tout le monde écoute les mêmes sons à fond
Mangeurs de casher ou de saucisson
Dans ma rue, je suis posé, je marche tranquille dans la ville
J'esquive les civils et reste le patron du style
À chacun sa banlieue. La mienne, je l'aime
Et elle s'appelle le 18ème

[Couplet 2]
Dans ma rue, pour communiquer il faut être trilingue
Et faire attention quand on marche sur des seringues
Se méfier des dingues qui sortent leurs flingues
Dans ma rue, les péripatéticiennes craquent pour du Crack
Les pompiers les réveillent en leur mettant des claques
Personne ne veut tenter le bouche à bouche
Les clodos s'échappent pour ne pas prendre de douche
Dans ma rue, le vendeur de grec veut nous empoisonner
Sa viande est bizarre, son huile est périmée
Comme moi l'épicier fait ses courses à Ed
Il m'revend les mêmes produits que j'achète l'aprés-midi
4 ou 5 fois plus cher la nuit
Dans ma rue, ça vole, ça viole
Mais qu'est-ce que tu veux ? À chacun sa banlieue
La mienne, je l'aime et elle s'appelle

Fils de boomer.

kiss

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Jaloux, va.

L'encre coule, le sang se répand ; la feuille buvard
Absorbe l'émotion, sac d'images dans ma mémoire
Je parle de ce que mes proches vivent et de ce que je vois :
Des mecs coulés par le désespoir qui partent à la dérive
Des mecs qui pour 20 000 de shit se déchirent
Je parle du quotidien, écoute bien, mes phrases font pas rire
Rire, sourire, certains l'ont perdu
Je pense à Momo qui m'a dit "à plus" ; jamais je ne l'ai revu
Tenter le diable pour sortir de la galère, t'as gagné frère
Mais c'est toujours la misère pour ceux qui poussent derrière
Pousse, pousser au milieu d'un champ de béton
Grandir dans un parking et voir les grands faire rentrer les ronds
La pauvreté, ça fait gamberger, en deux temps, trois mouvements
On coupe, on compresse, on découpe, on emballe, on vend
A tour de bras, on fait rentrer l'argent, on craque
Ouais, c'est ça la vie, et parle pas de RMI ici ici

test

Ici, le rêve des jeunes c'est la Golf GTI, survet' Tacchini
Tomber les femmes à l'aise comme Manny
Sur Scarface, je suis comme tout le monde : je délire bien
Dieu merci, j'ai grandi, je suis plus malin, lui il crève à la fin
La fin, la faim, la faim justifie les moyens, quatre, cinq coups malsains
Et on tient jusqu'à demain, après on verra bien
On marche dans l'ombre du Malin du soir au matin
Tapis dans un coin, couteau à la main, bandit de grand chemin
Chemin, chemin, y en a pas deux pour être un dieu
Frapper comme une enclume, pas tomber les yeux, l'envieux toujours en veut
Une route pour y entrer, deux pour s'en sortir, 3/4 cuir
Réussir, s'évanouir, devenir un souvenir
Souvenir, être si jeune, en avoir plein le répertoire
Des gars rayés de la carte qu'on efface comme un tableau, tchpaou ! C'est le noir
Croire en qui, en quoi ? Les mecs sont tous des miroirs
Vont dans le même sens, veulent s'en mettre plein les tiroirs
Tiroir, on y passe notre vie, on y finit
Avant de connaître l'enfer sur terre, on construit son paradis
Fiction, désillusion trop forte, sors le chichon
La réalité tape trop dur, besoin d'évasion

APRÈS SEPT ANNÉES DE GUERRE, SEPT ANNÉES DE BÂTIMENT

Je suis obligé de rester près de Paris pour le boulot et je ne rêve que de me casser. Passez cet endroit à la bombe atomique par pité.

Perdre et gagner, rentrer avec quelques papiers en plus
Ça aidera, personne demandera d'où ils sont tombés
Tomber ou pas, pour tout, pour rien, on prend le risque, pas grave cousin
De toute façon dans les deux cas, on s'en sort bien
Vivre comme un chien ou un prince, y'a pas photo
On fait un choix, fait griller le gigot, briller les joyaux
Joyaux, un rêve, plein les poches mais la cible est trop loin, la flèche
Ricoche, le diable rajoute une encoche, trop moche, les mecs cochent
Leur propre case, décoche pour du cash, j'entends les cloches, à coups de pioche
Creuser un trou, c'est trop fastoche
Fastoche, facile le blouson du bourgeois docile
Des mémés la hantise et porcelaine dans le pare-brise
Tchac ! Le rasoir sur le sac à main, par ici les talbins
Ça c'est toute la journée, lendemain après lendemain
Lendemain ? C'est pas le problème, on vit au jour le jour
On n'a pas le temps ou on perd de l'argent, les autres le prennent
Demain, c'est loin, on n'est pas pressé, au fur et à mesure
On avance en surveillant nos fesses pour parler au futur
Futur, le futur ne changera pas grand-chose, les générations prochaines
Seront pires que nous, leur vie sera plus morose
Notre avenir, c'est la minute d'après, le but, anticiper
Prévenir avant de se faire clouer
Clouer, cloués sur un banc, rien d'autre à faire, on boit de la bière
On siffle les gazières qui n'ont pas de frère
Les murs nous tiennent comme du papier tue-mouches
On est là, jamais on s'en sortira, Satan nous tient avec sa fourche
Fourche, enfourcher les risques, seconde après seconde
Chaque occasion est une pierre de plus ajoutée à nos frondes
Contre leurs lasers, certains désespèrent, beaucoup touchent terre
Les obstinés refusent le combat suicidaire
Sidère, sidérés, les dieux regardent l'humain se diriger
Vers le mauvais côté de l'éternité d'un pas ferme et décidé
Préférant rôder en bas en haut, on va s'emmerder
Y a qu'ici que les anges vendent à fumer

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Jaloux de vivre dans un cloaque ?
Pas vraiment.

Fumée, encore une bouffée, le voile est tombé
La tête sur l'oreiller, la merde un instant estompée
Par la fenêtre, un cri fait son entrée, un homme se fait braquer
Un enfant se fait serrer, pour une Cartier, menotté
Menotté, pieds et poings liés par la fatalité
Prisonnier du donjon, le destin est le geôlier
Le turf, l'arène, on a grandi avec les jeux
Gladiateur courageux, mais la vie est coriace, on lutte comme on peut

[Couplet 2 : Akhenaton]
Dans les constructions élevées
Incompréhension, bandes de gosses soi-disant mal élevés
Frictions, excitation, patrouilles de civils
Trouille inutile, légendes et mythes débiles
Haschich au kilo, poètes armés de stylos
Réserves de créativité, hangars, silos
Ça file au bloc 20, pack de Heineken dans les mains
Oublier en tirant sur un gros joint
Princesses d'Afrique, fille mère, plastique
Plein de colle, raclo à la masse lunatique
Economie parallèle, équipe dure comme un roc
Petits Don qui contrôlent grave leurs spots
On pète la Veuve Cliquot, parqués comme à Mexico
Horizons cimentés, pickpockets, toxicos
Personnes honnêtes ignorées, superflics, Zorros
Politiciens et journalistes en visite au zoo
Musulmans respectueux, pères de famille humbles
Baffles qui blastent ma musique de la jungle
Entrées dévastées, carcasses de tires éclatées
Nuée de gosses qui viennent gratter
Lumières oranges qui s'allument, cheminées qui fument
Parties de foot improvisées sur le bitume
Golf VR6, pneus qui crissent

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Evidemment qu'ils facturent à un prix indécent, c'est le cas pour tous les domaines. un consultant, il va palper environ 30k et la boite une centaine facile.
Mais vu les missions qui ont quasi rien à voir avec mes compétences la je suis plus trop motivé j'avoue, à mon avis je vais serrer les dents un moment mais si ca continue je vais finir par me barrer.

J'ai grandi à 30km de Paris, mais j'ai eu droit à des blagues du style "ouarf ouarf vous nous ramenez la pluie, Parigots têtes de veau hein ? Hein ?"

JE REVIENS DE LONGUE TERRE, JE REVIENS A LORIENT

Le pire chez les Parigos, c'est l'odeur... à force de vivre dans la puanteur de leur métro, de leur ville, ils ne se rendent plus compte de l'odeur qu'ils dégagent.

Silence brisé par les sirènes de la police
Polos Façonnable, survêtements minables
Mères aux traits de caractère admirables
Chichon bidon, histoires de prison
Stupides divisions, amas de tisons
Ou clichés d'Orient, cuisine au piment
Jolis noms d'arbres pour des bâtiments dans la forêt de ciment
Désert du midi, soleil écrasant
Vie la nuit, pendant le mois de Ramadan
Pas de distractions, se créer un peu d'action
Jeu de dés, de contrée, paris d'argent, méchante attraction
Rires ininterrompus, arrestations impromptues
Maires d'arrondissement corrompus
Marcher sur les seringues usagées, rêver de voyager
Autoradios en affaire, lot de chaînes arrachées
Bougre sans retour, psychopathe sans pitié
Meilleurs liens d'amitié qu'un type puisse trouver
Génies du sport faisant leurs classes sur les terrains vagues
Nouvelles blagues, terribles techniques de drague
Individualités qui craquent parce que stressées
Personne ne bouge, personne ne sera blessé
Vapeur d'éther, d'eau écarlate, d'alcool
Fourgon de la Brink's maté comme le pactole
C'est pas drôle, le chien mord enfermé dans la cage

Ben, j'ai des gamins ? mais ils sont grands, ils n'habitent plus chez papa-maman.

>Faut pas t'inqueter, les chinois vont venir prendre leur place
Il y en a aux alentours en effet, pas encore dans notre immeuble cependant (non que ça aie une grosse importance, quelque soit la nationalité tout le monde est toujours trés discret.)

>30km de Paris
C'est toujours paris, tête de con.

pourquoi c'est tout gluant de partout ? On dirait qu'elles sortent d'un cocon d'insecte dégueulasse. Je suis désormais mou à cause de cette image

Bave de rage, les barreaux grimpent au deuxième étage
Dealer du hashich, c'est sage si tu veux sortir la femme
Si tu plonges, la ferme, y'a pas de drame
Mais l'école est pas loin, les ennuis non plus
Ça commence par des tapes au cul, ça finit par des gardes à vue
Regarde la rue, ce qui change ? Y a que les saisons
Tu baves du béton, craches du béton, chies du béton
Te bats pour du laiton, mais est-ce que ça rapporte ?
Regrette pas les biftons quand la BAC frappe à la porte
Trois couleurs sur les affiches nous traitent comme des bordilles
C'est pas Manille, ok, mais les cigarettes se torpillent
Coupable innocent, ça parle cash, de pour cent
Oeil pour oeil, bouche pour dent, c'est stressant
Très tôt, c'est déjà la famille dehors, la bande à Kader
"Va niquer ta mère !": la merde au cul, ils parlent déjà de travers
Pas facile de parler d'amour, travail à l'usine
Les belles gazelles se brisent l'échine dans les cuisines
Les élus ressassent rénovation, ça rassure
Mais c'est toujours la même merde derrière la dernière couche de peinture
Feu les rêves gisent enterrés dans la cour
A douze ans, conduire, mourir, finir comme 2Pac Shakur
Mater les photos, majeur aujourd'hui, poto
Pas mal d'amis se sont déjà tués en moto
Une fois tu gagnes, mille fois tu perds : le futur c'est un loto
Pour ce, je dédie mes textes en qualité d'ex-voto, mec
Ici t'es jugé à la réputation forte
Manque-toi et tous les jours les bougres pissent sur ta porte
C'est le tarif minimum et gaffe
Ceux qui pèsent transforment le secteur en oppidum
Gelé, l'ambiance s'électrise, y a plein de places assises
Béton figé fait office de froide banquise
Les gosses veulent sortir, les "non" tombent comme des massues
Les artistes de mon cul pompent les subventions DSU
Tant d'énergie perdue pour des préjugés indus
Les décideurs financiers, pleins de merde dans la vue
En attendant, les espoirs foirent, capotent, certains rappent

Si mélenchon passe il va crever les pneus de ta lambo quand même, fais gaffe

Attached: Lambo Jantes tunees.jpg (600x487, 32K)