/fr/ - Le fil légionnaire
>ce sentiment de l'amour
doux et cruel
*Chie a cote du fil*
Aimez le 3ème Reich, après tout il est pas si mal
Faut juste arrêter de prétendre que c'est pour la France pêh
>dans un petit restaurant local, en train de prendre mon déjeuner
>je commande mon steak saignant habituel
>une serveuse, visiblement en fin de grossesse, m'apporte mon repas
>alors que je me délecte de la volupté de cette viande de bœuf, je commande du scotch, comme je le fais toujours après manger
>la serveuse se rend derrière le comptoir afin de me servir mon breuvage
>elle remarque que la bouteille se trouve sur une étagère assez haute et se rend compte que son petit gabarit et son état ne lui permettront jamais de l'atteindre
>malgré tout, en tant que femme indépendante, elle tente de se saisir de l'une des chaises pour pouvoir grimper dessus, mais ces dernières sont toutes trop lourdes pour ses bras frêles et féminins
>elle regarde aux alentours, et ses yeux finissent par se poser sur les miens ; d'instinct, elle les baisse
>"C'est reparti pour un tour", me dis-je, alors que j'enfreins toutes les règles de bienséance et marche dans sa direction d'un pas assuré
>tous les hommes du restaurant fixent leur steak saignant, un sourire malicieux se dessinant sur leurs lèvres. Ils peuvent sentir l'oppression
>"M-monsieur… s-s'il vous plaît, n-ne…" balbutie-t-elle
>d'une seule main, j'écarte la lourde chaise qu'elle peinait tellement à déplacer, d'un geste prompt, patriarcal
>ses lèvres commencent à trembler cependant que son vagin s'humidifie d'une manière bien involontaire, telle la bouche d'un Juif devant de l'argent
>tout autour, les femmes inclinent leur tête. Une petite fille en pleurs demande à sa mère : "Mais pourquoi, maman, pourquoi ?"
>les hommes savourent la peur, glissant leurs mains dans leurs pantalons, réajustant leur pénis, désormais dur comme le bois. Certains se mettent à rire et à frapper les tables avec leurs poings
>je m'approche de la femme, mon phallus en pleine érection touchant légèrement son ventre enceint, et, sans même regarder, je m'empare de la bouteille posée sur l'étagère
Hé gamin, ça te dirait de voir le vélodrome ?
Je réclame ce fil au nom des ouvriers
Israël gagnera à la fin.
>elle s'écroule sur le sol, recroquevillée sur elle-même, incapable de retenir ses larmes
>les hommes se lèvent et entreprennent de marteler les tables avec leur verge turgescente, telles des instruments à percussion. Ils m'acclament, doublant la cruauté du viol que je suis en train de commettre
>"Inutile de vous épuiser, mademoiselle. Je l'ai."
>tandis que j'attrape un verre et me verse ma boisson, elle sanglote un "M-merci…" et se met soudainement à éprouver des contractions
>alors qu'elle crie, un enfant de cinq kilos sort de ses entrailles, portant une moustache fournie
>"Ce fut un privilège."
>csq accro à la branlette
que faire ?
Je sais que ça vient de l'ennui mais comment lutter